L’Union rassemble des fabricants bijoutiers et joailliers, des grandes marques de luxe, des orfèvres, des négociants en pierres et perles, des négociants en métaux précieux, et des créateurs soucieux d’agir pour garantir l’avenir de leurs professions.
Bijoutier Fabricant
www.henneron.comDepuis 1961, Jean HENNERON excerce son métier avec passion. Petit-fils d'horloger, il a 8 ans lorsqu'il regarde son grand-père réparer des montres. Il s'engage alors auprès de lui à faire le même métier. Il sort diplômé à 19 ans de l'école d'horlogerie d'Anet à Dreux. A 24 ans, il s'installe à deux pas de l'endroit où il est né. Aux montres, il préfère la joaillerie... Fasciné par le diamant, il voudrait les associer aux pierres de couleurs. En 1973, il part donc les chercher dans les mines d'Asie et revient avec des rubis, des saphirs, des émeraudes... Il conseille, explique, propose des transformations et développe ses créations. Amoureux des pierres précieuses, il transmet cette passion à ses enfants... La saga familiale se perpétue : son fils Thierry HENNERON, diplômé de la prestigieuse école de joaillerie de la rue du Louvre et diplômé de l'institut national de gémologie, et son gendre Olivier CAUDRELIER, diplômé de la même école, dirigent l'atelier de fabrication, assistés de techniciens aux mains créatives. Sa fille, Delphine, qui suit des cours aux Beaux-Arts s'occupe de la vente et de la création avec sa belle-fille, Christine, qui a travaillé chez Kookai comme styliste, puis dans la vente chez Escada à Paris. Trouver une telle concentration artistique dans la profession est d'une extrême rareté.
Créateur Designer
http://www.lydiacourteille.com/index.phpElle a tout d’une héroïne mutine de salon, visage de poupée, frange espiègle, Lydia Courteille est une fée Parisienne connue pour l’étonnant cabinet de curiosités dont elle tire les ficelles, 100% Oniriques. Ici, on croise les élégantes, fantasques et féminissimes figures littéraires aux doigts de vamp. Femmes d’esprit pour bijoux qui ont de la conversation! C’est là, dans ce décor d’Orphée que Lydia Courteille cultive ses rêves en serre. Carnaval inouï de bijoux vintage glanés au fil d’une vie d’antiquaire passionnée d’extraordinaire qui, un jour, a décidé de créer ce qu’elle n’en finissait plus de chercher. Turquoise, opale, jade, corail, ivoire – chaque vitrine a sa couleur, ses thèmes. Bijoux créés par elle comme une histoire à lire. Il y va du fantastique d’un bestiaire terrifiant à la Jérôme Bosch dont elle détourne le diabolique pour le plaisir des formes: serpents, chauves-souris, guêpes, grenouilles ou singes de diamants tutoient d’énormes pierres taillées pour surprendre, tant les volumes s’expriment en grand sur la main. Des pièces uniques, chaque fois, dont tous les noms de la place voisine n’hésitent pas à s’inspirer pour l’imagination “no limit”...